Horloge et urnes française du 19ème siècle.
photos: © Carole Breckler
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Restauration de la statut du Saint-Coeur-de-Marie des Soeurs du Bon-Pasteur de Québec.
L'ancienne finition en or s'est dégradée au fil des années et a été enlevée lors de la restauration. La statut a été par la suite repeinte avec de la peinture spécialement conçu pour les métaux ferreux et redorer à la feuille d'or 23 carat.
photos: © Carole Breckler
L'ancienne finition en or s'est dégradée au fil des années et a été enlevée lors de la restauration. La statut a été par la suite repeinte avec de la peinture spécialement conçu pour les métaux ferreux et redorer à la feuille d'or 23 carat.
photos: © Carole Breckler
Entretien et conservation de sept pièces d'artillerie allemand qui ont été saisit lors de la Première Guerre mondiale. La Commission des champs de bataille nationaux les préserve et met en valeur sur les plaines d'Abraham à Québec.
photo: © Carole Breckler
photo: © Carole Breckler
Restauration de la grande porte (3,81 x 2,28 m) de l’artiste Émile Brunet, du Musée national des beaux-arts du Québec.
La porte à deux vantaux en fer recouvert de cuivre a été fabriquée par la compagnie parisienne Schwartz-Hautmont, en 1929. Chaque vantaux est composés de 5 bas-reliefs en bronze représentant des mammifères, oiseaux et poissons du Canada*.
*(Ginette Laroche: Le sculpteur Émile Brunet et le décor historié du musée de la province de Québec (1928-1932), MNBA Québec 2008. p32 et 33)
photos: © Carole Breckler
La porte à deux vantaux en fer recouvert de cuivre a été fabriquée par la compagnie parisienne Schwartz-Hautmont, en 1929. Chaque vantaux est composés de 5 bas-reliefs en bronze représentant des mammifères, oiseaux et poissons du Canada*.
*(Ginette Laroche: Le sculpteur Émile Brunet et le décor historié du musée de la province de Québec (1928-1932), MNBA Québec 2008. p32 et 33)
photos: © Carole Breckler
La restauration a consisté à un nettoyage, dégagement mécanique de la corrosion, traitement de cette dernière et retouche à l’aide d’une patine chimique. Une couche de protection a été appliquée sur l’ensemble de la porte. Les travaux ont été réalisés avec la collaboration de CRC Conservation/Restauration de la Capitale.
photos: © Carole Breckler
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Entretien et restauration d’œuvres d'art public et de monuments en métal, métal peint et patiné (bronze, aluminium, acier, etc.). De même démontage et réinstallation des œuvres. Selon les besoin, les travaux se font in situ ou dans l'atelier.
photos: © Carole Breckler
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Restauration de onze croix en fonte et fer forgé pour le Monastère des Augustines. Ces croix se situe sur le Cimetière de Hôpital-Générale de Québec, un lieu historique national du Canada. Il s’agit du plus ancien cimetière encore en place à Québec, sur lequel sont principalement inhumé des soldats qui ont succombé lors de la bataille des Plaines d’Abraham et de Sainte-Foy et ceux décédés au cours de la guerre de Sept Ans.
photos: © Carole Breckler
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Restauration d'objets d'art en stéatite, matériaux organiques, métal, plastique et bois de la collection permanente et de la collection des prêts du Musée national des beaux-arts du Québec.
photos: © Musée national des beaux-arts du Québec
photos: © Musée national des beaux-arts du Québec
Réfection de 35 plaques commémoratives de la Commission des lieux et monuments historiques du Canada situées en Charlevoix, Chaudière-Appalaches et dans la grande région de Québec. Parcs Canada.
photos: © Carole Breckler 2015
photos: © Carole Breckler 2015
En 2006, durant une feuille archéologique à Esch/Alzette (Luxembourg), les archéologues ont trouvé des sépultures d’un cimetière mérovingien. Dans la sépulture de deux guerrier se trouvait deux épées en acier et sept damasquinures en argent et or. Les artéfacts ont été stabilisé chimiquement, suivi d'une restauration et exposition au Musée national d'histoire et d'art du Luxembourg.
photos, rayonX: © Musée national d'histoire et d'art du Luxembourg / Rainer Fischer, Tom Lucas, Carole Breckler
photos, rayonX: © Musée national d'histoire et d'art du Luxembourg / Rainer Fischer, Tom Lucas, Carole Breckler
Restauration d’armures et de 41 ordres honorifiques appartenant entre autre à la famille Grand-Ducale de Luxembourg, qui sont exposés au Musée Dräi Eechelen du Luxembourg.
photos: © Musée national d'histoire et d'art du Luxembourg / Tom Lucas, Carole Breckler
photos: © Musée national d'histoire et d'art du Luxembourg / Tom Lucas, Carole Breckler
Cette crèche de noël (datant du 17ème siècle) était sujet de ma maîtrise. Elle appartient à l'abbaye de Klosterneuburg (Autriche) où elle est exposée.
La thèse traite l'historique culturelle du corail précieux, sa composition chimique, l'exploitation et la transformation.
La conservation et restauration du corail précieux pose beaucoup de problèmes dans les collections muséales de l'Europe. La raison pour laquelle la partie pratique de la thèse examine les méthodes de nettoyage et de collage du corail.
photo: © Institute of Conservation Vienna / Carole Breckler
La thèse traite l'historique culturelle du corail précieux, sa composition chimique, l'exploitation et la transformation.
La conservation et restauration du corail précieux pose beaucoup de problèmes dans les collections muséales de l'Europe. La raison pour laquelle la partie pratique de la thèse examine les méthodes de nettoyage et de collage du corail.
photo: © Institute of Conservation Vienna / Carole Breckler
L'horloge « Ritterspieluhr » est un chef d’œuvre du 18ème siècle avec un automate mécanique unique qui déclenche des jeux de chevalier.
Elle est exposée dans le bureau du Président de l’Autriche et la mécanique est exclusivement jouée pour des visites royales et politiques.
L’horloge est en bronze et étain avec une dorure au mercure et les cadres sont marquetés en technique « contre-Boulle ».
Les coulisse et scène de chevalier sont en tôle peinte à la peinture à l’huile.
photo: © Institute of Conservation Vienna / Carole Breckler
Elle est exposée dans le bureau du Président de l’Autriche et la mécanique est exclusivement jouée pour des visites royales et politiques.
L’horloge est en bronze et étain avec une dorure au mercure et les cadres sont marquetés en technique « contre-Boulle ».
Les coulisse et scène de chevalier sont en tôle peinte à la peinture à l’huile.
photo: © Institute of Conservation Vienna / Carole Breckler
Restauration du sceptre, daté à 1615, de la Faculté de Droit de L'Université de Vienne (Autriche). Ce sceptre à une grandeur de 150 cm et est fait en argent et argent doré. La restauration de ce dernier a servi comme exemple pour les six autres sceptres qui représente les 6 facultés de l’Université. Ils étaient jusqu’à présent utilisé pour des cérémonies comme la remise de diplômes. Les originaux sont maintenant exposés dans une vitrine et des répliques ont été fabriquées pour les cérémonies.
photo: © Institute of Conservation Vienna / Carole Breckler
photo: © Institute of Conservation Vienna / Carole Breckler
Restauration d’une grande mosaïque gallo-romaine (3ème siècle) de Diekirch (Luxembourg) représentant le masque de double visage (Méduse).
photo: © Musée national d'histoire et d'art du Luxembourg / Tom Lucas
photo: © Musée national d'histoire et d'art du Luxembourg / Tom Lucas
« 20er Haus », une maison construite par l’architecte Karl Schwanzer comme pavillon de l’Autriche à l’Exposition Mondiale 1958 à Bruxelles. Après l’Exposition Mondial le pavillon fut déconstruit et transporté à Vienne. L’architecte Adolf Krischanitz, un ancien étudiant de Karl Schwanzer, a remporté le concours pour la rénovation du pavillon, le bâtiment a été finalement détruite à l’exception du squelette en métal. Cette rénovation a motivé le service des sites et monuments d’Autriche (BDA – Österreichisches Bundesdenkmalamt) de nous engager pour établir un inventaire et de documenter et de conserver tout ce qui est encore original de l’année 1958 de Bruxelles, c’est à dire des meubles, des tableaux, des parties du revêtement de plancher etc. et de déterminer la couleur originale de la façade de 1958 avant que les travaux de démolition aient commencé.
photo: © Institute of Conservation Vienna / Stefan Olah
photo: © Institute of Conservation Vienna / Stefan Olah
La serre aux palmiers du château de Schönbrunn à Vienne (Autriche) est la dernière et la plus grande de son style, en Europe. Elle a été construite par les plans de l ‘architecte, attitré de la Cour des Habsbourg, Franz Xaver von Segenschmid et inaugurée en 1882. Le jardin d’hiver qui est ouvert au public a hébergé la collection botanique de la Maison des Habsbourg et héberge encore aujourd’hui une collection de 7000 plantes venant du monde entier, dans trois zones de climats différents.
La serre aux palmiers à Schönbrunn a subi plusieurs grandes rénovations au fil des années. Dans la deuxième guerre mondiale, elle a été détruite par des bombardements et reconstruite plus tard. D’autres rénovations ont suivi en 1977 et entre 1986 et 1990. En 2008, le jardin d’hiver a révélé de nouveaux dommages. L’institut de conservation et restauration de l’université d’art appliqué de Vienne (Autriche) a eu la demande de faire un constat d’état et de proposer des traitements pour la conservation du monument.
La problématique s’est reflétée non seulement dans la conservation du bâtiment, mais aussi dans le respect et la survie des plantes. Malgré cette problématique, il était nécessaire de documenter l’ensemble du bâtiment : les éléments en métal et verre, l’état de ces derniers, l’enjeu entre la plantation, le climat et l’entretien actuel du bâtiment, pour afin trouver un concept de conservation pour le future.
Les analyses préliminaires ont démontré qu’une restauration de l’ensemble du bâtiment n’est pas nécessaire. Il est préférable de faire des interventions conservatrices, qui s’avèrent moins coûteuses, et de faire un retour aux systèmes d’entretien historique, ainsi que la modernisation de ces derniers.
photo: © Carole Breckler
La serre aux palmiers à Schönbrunn a subi plusieurs grandes rénovations au fil des années. Dans la deuxième guerre mondiale, elle a été détruite par des bombardements et reconstruite plus tard. D’autres rénovations ont suivi en 1977 et entre 1986 et 1990. En 2008, le jardin d’hiver a révélé de nouveaux dommages. L’institut de conservation et restauration de l’université d’art appliqué de Vienne (Autriche) a eu la demande de faire un constat d’état et de proposer des traitements pour la conservation du monument.
La problématique s’est reflétée non seulement dans la conservation du bâtiment, mais aussi dans le respect et la survie des plantes. Malgré cette problématique, il était nécessaire de documenter l’ensemble du bâtiment : les éléments en métal et verre, l’état de ces derniers, l’enjeu entre la plantation, le climat et l’entretien actuel du bâtiment, pour afin trouver un concept de conservation pour le future.
Les analyses préliminaires ont démontré qu’une restauration de l’ensemble du bâtiment n’est pas nécessaire. Il est préférable de faire des interventions conservatrices, qui s’avèrent moins coûteuses, et de faire un retour aux systèmes d’entretien historique, ainsi que la modernisation de ces derniers.
photo: © Carole Breckler